À l’occasion du Mondial de l’automobile qui se tient à Paris ce lundi 14 octobre, le constructeur français Renault met en lumière sa nouvelle Renault 4, la grande sœur de la très médiatisée R5. Ces deux modèles partagent de nombreux points communs, notamment leur fabrication intégralement en France.
Après le lancement de la R5 en début d’année, Renault profite de cet événement majeur pour poursuivre son offensive commerciale dans le secteur des petites citadines électriques. Dans un contexte réglementaire exigeant, qui contraint les constructeurs européens à augmenter significativement leurs ventes de véhicules électriques d’ici 2025, le choix de relancer ce modèle emblématique, dont plus de 8 millions d’exemplaires ont été vendus entre 1961 et 1992, témoigne de l’engagement de Renault en faveur de l’innovation et du savoir-faire français.
Derrière cette résurrection se trouve la vision de Luca de Meo, le directeur général du groupe Renault, connu pour son approche « néo-rétro ». Ce projet renforce non seulement l’héritage automobile de la marque, mais souligne également l’importance du Made in France dans la stratégie de Renault pour l’avenir de la mobilité.